Leur premier album « Cool & Steady & Easy » a été nommé « Album de l’année 1995 » par Billboard Magazine dans la catégorie alternative R&B et le suivant « In The BuzzBag », enregistré en 1998 à Istanbul, a valu au groupe sa première nomination aux Grammy.

BFE a fait des tournées internationales en compagnie de légendes comme James Brown, Parlement, Funkadelic, Kool & The Gang, The Roots, The Meters, Erykah Badu och New Power Génération.

La musique de BFE a aussi été utilisée dans des productions cinématographiques et télévisuelles telles que The Sopranos, Starsky & Hutch, The Blacklist, Manifest ainsi que plusieurs publicités.

Depuis 2016, la reine de la funky music britannique, Alison Limerick, chante avec le groupe.
Elle partage le lead avec un membre de longue date, Desmond Foster, né en Jamaïque, qui joue aussi de la guitare.

Hux Nettermalm est à la batterie avec Kronlund à la basse et Kristoffer Wallman derrière les claviers.

La section de cuivres est dirigée par le jeune trombone suédois Ebba Åsman.Brooklyn Funk Essentials a sorti six albums studio, et le septième intitulé « Intuition » est prévu pour la fin de l’été 2022.

Avec près de 40 millions d’écoutes en streaming, BFE transmet ses vibrations dansantes et positives à tous les fans de funky music à travers le monde.

= Ils en parlent =
« …Chantres d’un melting pot funk et vintage forgé dans les clubs new-yorkais des années 1990, les Brooklyn Funk Essentials font partie de ces groupes qui échappent aux modes et transcendent les générations.

Le collectif trentenaire, toujours mené par le bassiste suédois Latil Kronul, a notamment trouvé un nouveau souffle en 2016, avec l’arrivée de la chanteuse britannique Alison Limerick.
À Vienne, l’ancienne diva de l’acid jazz ouvre le show avec No Strings, un titre très soul issu du dernier album Stay Good (2019).
Le guitariste et chanteur Desmond Foster prend à son tour le micro pour se fendre de quelques solos hip-hop sur le suave Dance-Free Night.
Tel est le son « BFE », qui brasse allègrement funk, rap, reggae, jazz, disco et tout ce qui a nourri l’âge d’or américain des seventies, sans oublier quelques vibrations glanées aux quatre coins de la planète.
Le set inclut ainsi un détour voluptueux par Istanbul (Istanbul Twilight), n’oublie pas l’incontournable Dance or Die et se clôt sur The Creator has a Master Plan, emprunté autrefois à Pharoah Sanders et… qui vieillit plutôt bien. » (Anne Berthod, Télérama)